Et si je vous parlais du « grand voyage » !
Je n’aurai pas eu l’occasion de vous parler
« du grand voyage »
celui dont on ne revient pas
et qui nous concerne tous !
J’espère que cette « grande aventure » en vaudra la peine.
Je serai comme ce petit oiseau qui s’envole dans l’infini du ciel,
un petit point qui disparaît petit à petit,
veillant toujours sur vous et espérant retrouver tous ceux aimés et trop tôt partis.
Il n’y a rien de triste dans cela, c’est la vie.
Je m’imagine flottant au-dessus de mon corps
et vous observant sans pouvoir vous le dire,
juste remuant un voile du rideau alors qu’il n’y a pas de vent
pour essayer de sécher vos larmes !
Ne pleurez pas, je suis au paradis
au milieu des fleurs et des petits oiseaux
n’en doutez pas !!!
Et soyez sages, je vous vois !!!
Je terminerai par un petit mot d’Odile,
oui c’est triste pour ceux qui restent !