Trek de Pokkhara à Gandrung (6/8)
3ème jour – GANDRUNG – NAUDENDA – 10 h de marche
On ne voit plus que la base des montagnes poudrées de neige fraîche.
Le soleil est réapparu. Nous faisons un arrêt à chaque source pour boire et se mouiller la tête. Dans la journée il fait très chaud.
photos du net
Nous avons compris maintenant que les sentiers népalais sont constitués de collines successives à franchir, avec chaque fois une descente, un torrent à traverser et une remontée par des marches hautes et irrégulières, représentant des dénivelées importantes.
J’en profite pour souligner le travail remarquable des népalais pour aménager ces escaliers empierrés.
Guillemette plus alerte que moi, me précède et je la retrouve à Chandrakott où elle fait la vedette au milieu d’un groupe du club med.
Puis remontée sur Lumla et Naudenda où nous arriverons à 6 h du soir, après dix heures de marche pour moi (Guillemette allant plus vite, m’attendait avec un verre de thé).
Ta Guillemette elle devait être sympa !
10 HEURES de marche ! c’est comme en 14 dis donc. Je n’ai pas à me plaindre quand je fais 2 h seulement. Il faut de l’entraînement, tu vas me dire mais je ne m’y vois pas quand même. Bon week end Danae.
Coucou, il faut être en forme pour crapahuter ainsi !!
gros bisous
Même à cette époque je n’aurais jamais pu te suivre !! Quelle force physique !
Plein de gros bisous
Monelle
vous étiez nombreux;
l’Ethiopie est un grand pays (2 fois la France) et les gens n’ont pas du tout le même physique selon qu’ils soient du nord ou du sud; il y a des grands minces comme les tribus mursi du sud mais aussi d’autres qui sont comme nous, de taille moyenne et trapus ; tout dépend de leur origine; mais pas de gros, normal compte tenu de leur mode de vie, de leur grande activité et pourtant, certains mangeaient deux fois plus que moi;
la plupart des champions de course à pieds viennent du même coin d’où un physique identique.
bonne journée, Danae
bises
Bonjour « Mon Aventurière »
Sacrée Guillemette …. elle est alerte
Je pense que la chaleur doit accentuer les efforts demandés. Ce périple est certainement plus difficile que des courses en montagne. J’ai du mal à accepter la grosse chaleur et cela aurait été très difficile pour moi.
Bisous Ma Grande Aventurière
il y avait de la neige mais il faisait chaud à grimper
bises
bel hommage pour ces Népalais
merci pour ce moment de partage
Je te souhaite une agréable journée
qu’elle te comble de petits bonheur
gros gros bisous
En pensée je marche avec vous … maintenant en pensée seulement
Bisous belle amie
plus pratique avec ces sentiers refaits
aller au devant de soi n’est pas toujours une mince affaire mais quelle récompense lorsqu’on y arrive !
Bonsoir une belle aventure ! 10 h de marche maintenant je ne pourrai plus … bonne soirée bises
Les voyages ont ce charme de laisser en nous de merveilleux souvenirs.
Je t’embrasse chère Danae et te souhaite une douce semaine.
Des souvenirs très présents encore dans ta tête et ton coeur, je n’en doute pas !!
Comme j’aurais aimé avoir la possibilité de te suivre…
Bises ma belle et amitiés des pays de Savoie sous le soleil.
Bravo Danae !
Quelle belle aventure !
En ce moment j’aurais du mal à te suivre , mais tu me fais rêver !
Bisous
Je suis certainement que tu aimerais discuter avec mon amie Marie-Laure qui a fait de nombreux voyages dans ces pays. Elle a fait de grands sommets et c’est pour cela que lorsque nous randonnons ensemble …moi, je souffle et elle c’est simplement une balade de santé.
Je t’embrasse « Mon Aventurière »et te souhaite une belle journée
Je appris que les Népalais et pas les Nez pas Laid étaient très fort pour les constructions en pierres sèches.
Nos Autorités cantonales avaient demander des permis de travail pour construire des murs de vignes mais ça a été refusé par la Confédération.
Gros bisous p’tite Fleur et belle journée
tu as quand même du courage d’y aller jusqu’au bout de cette montée et de tes efforts c’était as un concourt mais une épreuve de grimper le plus haut possible
chapeau Danaé
bisous
Eh ben cette Guillemette alors ! Cela me rappelle quand je suis montée à la cascade d’Ars dans les Pyrénées. Je n’étais pourtant pas vieille mais je n’ai pas arrêté de souffler et il y avait des randonneurs qui nous doublaient sans arrêt d’un bon pas, j’étais sidérée ! Du coup ils sont allés plus loin ! C’est une question d’habitude, et puis ils étaient peut-être mieux chaussés.