A Java et Bali (4/41) Solo
Donc à partir de maintenant je ne vous parlerai plus que des découvertes que j’ai faites dans ce pays.
Il est 3 h du matin en France et 9 heures à Solo (soit 6 heures de décalage horaire en plus) où nous rencontrons notre guide jeune et sympathique. Nous entamons la journée directement et comme je l’avais prévu, j’ouvre mon bagage pour changer mon gros sac à dos contre un petit. La douche ce sera pour ce soir !
La chaleur est là, environ 34 degrés avec 80% d’humidité qui fera que la chaleur ressentie sera de peut-être 39. C’est dur quand on vient de France et que cette année on n’a pas vu le printemps arriver.
Nous voilà prêts pour la première visite, un marché aux puces tout poussiéreux qui ne nous laissera pas grand souvenir.
Ensuite, c’est la découverte du grand marché aux légumes et fruits de la ville qui nous semble miséreux, crasseux, plein de mauvaises odeurs, avec de pauvres gens qui nous font pitié. Pourquoi l’agence de voyage emmène les touristes dans cet endroit, nous nous sentons voyeurs et gênés.
Dehors les rickshaws attendent les clients,
des femmes croulent sous des charges de vanneries ou autres à vendre.
Je me croirai au Bangladesh ou dans les endroits d’Inde les plus tristes.
C’est peut-être la chaleur écrasante qui me fait voir tout moche !
J’adore tous ces marchés colorés et vivant …
bizz
pat
—> Oui mais là la chaleur était … accablante ! Bizzzzzz
ce moyen de transport nous permet de bien découvrir la ville
il faut quand m^me qu’il n’y ait pas trop de soleil
gros bisous
—> Le rickshaw est un transport pittoresque, mais nous avions notre car . Grosses bises Sonya
C’est vrai que la chaleur ça n’aide pas pour profiter pleinement de ce qui nous entoure, tu es bien courageuse merci pour ces images chère Danae, bises !
—> La chaleur anéantit un peu le voyageur !!! Tu as raison. Bises chère Joelle
Cette misère on le retrouve malheureusement dans d’autres pays, tu as raison de te demander pourquoi le guide vous emmène dans ces endroits, sans doute pour vous montrer, à vous gens « nantis », que la misère est présente sur vos lieux de voyages et que c’est en achetant que vous aidez ces gens.
Gros bisous et belle semaine chère Danae.
—> C’est vrai qu’en achetant on peut les aider. Heureux encore ces pays qui ont des touristes qui les visitent, ce n’est pas comme en ce moment la Syrie, la Libye, l’Egypte et la Tunisie ainsi que les pays sahariens !
Bises chère Laudith, passe une bonne fin de semaine.
Bonjour, chère Danaé,
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Ici, les voyages nous dévoilent la réalité de la vie.
Là, la misère est certainement plus grande quand un pays est riche, mais qu’il n’est pas capable de gérer ses richesses, et pour preuve, ce n’est pas avec ma petite pension d’handicapé que je peux espérer partir en voyage ou même en vacances. C’est aussi cela la réalité d’une certaine pauvreté qui sévit dans notre beau pays.
Enfin, je ne plains pas, du moins pour l’instant, car je peux survivre et voyager sur les plaines du Silence.
Avec toute ma tendre affection, Jack le poétiste.
—> Bonjour cher Jack,
Oui la pauvreté existe dans notre beau pays et de plus en plus car nos gouvernants ne savent pas prendre les bonnes décisions et commencent par se remplir eux-mêmes les poches !
Je sais que du moment que tu es près de la nature et dans le silence, tu ne ressens pas ce besoin d’aller ailleurs ce qui est sagesse de ta part !
Je t’embrasse fort ainsi qu’Estelle
On se retrouve propulsés 500 ans en arrière… la misère comme le disait Enrico Massias, est partout mais je ne suis pas d’accord pour dire qu’elle est moins triste au soleil…
Ici on profite d’une acalmie dans une relative fraîcheur. C’est mon dernier jour de travail aujourd’hui. Je suis à la retraite officiellement le 1er août mais en pratique, comme je ne travaille pas le mercredi, je suis pratiquement en retraite ce soir. Bonne journée Danae.
—> Je crois que la misère est pourtant moins triste au soleil, car les pauvres souffriraient davantage s’ils étaient dans le froid sans pouvoir se chauffer !
Je te souhaite une super retraite et de bien en profiter. Bises Elisabeth
Des instants de la vie que tout un chacun devrait connaitre, une expérience qui enrichit forcément, non?
La fatigue s’oublie bien vite quand on découvre un autre monde
gros bisous
—> Maintenant on peut voyager grâce aux médias, à défaut de vivre un moment dans le pays, et c’est moins fatigant !!! Bises Dgidgi, oui on s’enrichit au contact des autres.
Dame Danaé,
Nous venons de nous croiser sur la toile…..c’est pas beau ça ? Toi chez-moi et moi chez-toi.
Toi tu posais des réponses que j’aime lire…moi un ventilateur dernière géneration ….rires!
Je t’embrasse
MeL
—> Bravo pour le ventilateur dernière génération, tu te modernises ! Bises
Juste un p’tit coucou du lundi pour te souhaiter un bon début de semaine.
Bisous et pensées affectueuses
— Elisa, merci, ton coucou me fait plaisir et je te souhaite aussi à toi et Christian, une très belle semaine loin des orages et de la canicule !!! Gros bisous
Bonjour Dame Danaé,
Nous sommes terriens et nous jugeons la vie dans d’autres pays ( dits paradisiaques) colorée, chatoyante et chargée de parfums exotiques ( la faute aux affiches de pub des compagnies de voyages ) mais la réalité est bien souvent autre.Pour attirer le touriste, on oubli de parler de la misère, du manque de possibilité d’hygiène, de la pauvreté …on pose en priorité la luxuriance des capacités hôtelières etc !
Que cela soit en Europe, aux Amériques , en Afrique, en Asie l’appel aux voyages est basé sur le fric. Tu as du fric , tu voyages cool… tu n’as pas de fric, tu voyages vrai….mais tu souffres dans ton corps et aussi je pense dans ton coeur.
Je pense que les personnes comme toi savent ressentir l’âme des pays que tu visites….tu sais voir vrai….tu sais faire abstaction de la misère, du manque de confort, d’hygiène etc et nous montrer des endroits fabuleux en compagnie des humbles.
Je garde le souvenir d’amis malouins qui ( il y a longtemps ) avaient été en Roumanie via le club machin chose ( à l’époque de Ceausescu ). Ils m’avaient raconté que les roumains été heureux….le seul problème, ils n’avaient rencontré que le petit personnel bien silencieux du club. Mais jamais mes amis malouins n’ont été foutu de me montrer une photo des environs de leur club…mais ils se gargarisaient de bien connaître la Roumanie.
Toi Madame Danaé c’est l’inverse….tu nous montres le beau qui se cache derrière parfois le difficile, le dur…la réalité.
Tu es une vraie voyageuse.
Je t’embrasse.
*MeL*
—> Bonjour dame Mel,
Je regrette de ne plus pouvoir voyager comme autrefois, seule et en pauvre ! Cela me permettait d’être plus proche des gens du pays et de partager un peu de leur vie.
Dans ces voyages organisés, on ne fait que passer de loin, dans l’égoïsme de notre petit confort personnel, dans les beaux hôtels qui ne laissent pas entrer les gens du pays, ou bien ceux qui y travaillent ont la consigne de ne pas parler de leurs misères ! En me promenant dans les allées de l’hôtel, je plains le pauvre balayeur qui passe sa journée sous la chaleur à balayer les feuilles qui tombent pour que notre chemin soit joli. Et en même temps je me dis qu’il a un travail et qu’il doit être content.
Rien n’est parfait sur cette terre !
Je t’embrasse.
quand la misère est là elle nous saute aux yeux car pour certain, nous avons de la chance de pouvoir voyager et ne connaissons pas cette pauvreté
dire que le Français se plaint toujours même si nous avons des pauvres chez nous ils arrivent à manger
bisous
—> C’est vrai que l’on a des pauvres chez nous et que les français n’ouvrent pas leur porte facilement ! Dans ces pays pauvres, je crois qu’ils ont plus de solidarité entre eux.
Bises chère Raymonde
Michèle , je pensais au billet du 25 juillet , petite erreur !
Bises !
—> Pas grave Noëlle, bises du lundi
Je pense que j’aurais eu la même gêne que toi vis à vis des personnes qui ont une vie très difficile, ça permet aussi de voir réellement qu’on est privilégié, en cela c’est pas mal, et eux ne ressentent peut-être pas d’amertume vis a vis des touristes, leur vie, c’est comme ça…
—> Oui on est très privilégiés. Je ne sais pas trop ce qu’ils pensent des touristes. En tous cas les marchands sont bien contents de nous trouver et à la sortie des visites, on est obligé de passer auprès. Ils vendent tous à peu près la même chose mais j’ai du mal à acheter car je ne sais pas marchander et ils gonflent les prix !!!
Coucou ma belle !
Météo pourrie depuis hier chez nous orage et grosse pluie !
J’ai souvent eu cette sensation *d’indécence*, d’aller dans les quartiers miséreux…
Mais bon !
Nous serons absents une grosse semaine : visite en Lorraine, et retour en deux étapes chez des amis blogueurs….
Prends soin de toi !
Bisous et amitiés des deux Savoies réunies…
—> Coucou belle Clarisse,
Vous avez raison de faire quelques petites sorties et de rencontrer des amis, cela fait du bien.
Je vous embrasse et vous souhaite du bon temps et du beau temps.
J’avais lu la suite !
Bises Michèle !
—> Quelle suite, où ? Bises Noëlle
La dure réalité et tu étais fatiguée….j’attends le prochain billet ! Bali « l’île des dieux » ?
Je t’embrasse
—> Bonjour Noëlle, avant d’arriver à Bali il faudra passer par le volcan et aussi à Borobudur !!! Bises
Bonsoir Danaé,
C’est sûrement la chaleur et la fatigue qui te font voir toutes les choses pas bien jolies. La vie est bien rude pour tous ces gens et l’on s’aperçoit nous sommes bien et qu’il faudrait peut-être nous arrêter de râler …. je suis certaine que la suite sera meilleure !
Je n’ai pu venir plus tôt, (orage) nous nous sommes déconnectés puis aussi fatigue. Maintenant tout est gris et plus frais … cela va nous faire du bien et à la nature aussi qui a triste mine !!!
Bonne soirée à toi avec de gros bisous
—> Oui nous sommes bien par rapport à tous ces gens et encore on se plaint ! Nous nous encombrons de tant d’objets inutiles !
Je comprends que vous soyez fatigués par la chaleur. J’ai toujours peur de la foudre, il faut débrancher les ordis.
Grosses bises ma chère Elisa, passez une bonne journée
Peut-être n’y a-t-il rien d’autre à montrer aux touristes que la réalité aussi dure soit-elle… En tout cas, c’est toujours instructif, c’est ainsi qu’on ouvre les yeux… Bonne fin de dimanche Danae, bises
— Tu as raison, quand on veut découvrir un pays, il faut voir toutes les facettes, mais quelquefois c’est un peu trop dur ! Bonne soirée Eva, alors ton cavalier ne fait pas que de la figuration !!!
C’est vrai que ce que tu racontes est assez déprimant et, en plus tu devais être encore un peu secouée. Bises.
—> Oui j’étais très fatiguée et il faisait très chaud, il faut le temps de s’habituer. Je t’embrasse
Finalement, tu auras souffert dans ce périple, mais comme tu aimes les voyages …
Bon dimanche ma Danae, je t’embrasse sous une petite pluie tranquille qui apporte un peu d’oxygène …
—> Oui j’aime les voyages donc j’aime souffrir !!! Ici plein de vent, on respire. Bises ma Nelly
Nen on va venir avec toi, y fait moins chaud que chez nous, 40.4°
Gros bisous endimanchés tite Fleur
—> Oui mais il faut « tenir sur ses jambes » !!! Grosses bises H il, alors tu ne regardes plus les jolies fleurs, même ta Jonquille ? !!!
La chaleur et la fatigue du voyage. Mais je pense que la suite te donnera du plaisir
Bisous
—> Oui bien sûr, une nuit sans dormir, un départ sur les chapeaux de roues, la chaleur, le décalage horaire, c’était plus que fatigant ! Bises Mounette