Splendeurs du Laos (21/36) une journée à l’écolodge
Au lieu de nous laisser nous reposer, le guide nous emmena après le repas visiter le village qui dominait l’endroit.
C’était le moment le plus chaud de la journée et là j’ai vraiment eu du mal à suivre et à apprécier les sourires des kamu. La sueur nous dégoulinait le long du front et j’ai dû verser de l’eau dans mon chapeau en le retournant sur ma tête pour ne pas tomber par terre d’insolation !
Des femmes travaillaient sous le soleil et je les admirais. Je n’arrivais pas à imaginer passer ma vie dans ce lieu. C’est que le travail des rizières doit être épuisant.
Pour nous les touristes, on essaya de nous distraire. Je regardais de loin, assise à l’ombre, mes compagnons de voyage s’essayer à l’arbalète. Puis nous avons eu droit à une démonstration de déploiement d’épervier, ce filet pour attraper les poissons,
ainsi qu’une simulation d’orpaillage en recueillant un morceau de terre rocheuse de la rive et en le secouant dans une batte où nous avons pu apercevoir quelques reflets dorés, de l’or, j’en doute, plutôt du mica ! C’est très dommage mais nous n’avons pu voir d’orpailleurs à l’oeuvre, ce n’était pas la bonne saison. Ces gens passent leur journée le corps à moitié dans l’eau pour gagner peu, mais c’est vrai qu’ils ramassent quelques pépites selon leurs jours de chance. Encore un métier dur qui me remplit de compassion.
Le soir au dîner nous avons eu droit à un bon buffet. Puis dans la douceur de la nuit très étoilée, je me suis endormie après m’être un peu bataillée avec la moustiquaire et l’édredon trop volumineux dans l’espoir que personne ou qu’aucun animal ne me rendraient visite puisque ma porte ne fermait pas !
Le lendemain les enfants nous accompagnaient jusqu’au bateau.
Bonjour Danaé
Merci pour ce beau partage et cette leçon de vie que nous offrent ces femmes laotiennes… Je mesure à quel point nous sommes gâtés ici!
Bizzzz du mercredi
Marie-Aline
—> Oui nous nous plaignons mais nous sommes gâtées. Là-bas point de machine à laver le linge ou la vaisselle, point de repos du week-end, plein d’enfants à s’occuper, du riz à planter sinon pas de quoi survivre !!! Bises chère Marie Aline
ce doit être épuisant de vivre ainsi… Je ne sais pas si j’aurais le courage de partir en voyage dans cette région, même pour y découvrir des merveilles…
—> Eh bien alors, tu ne pourras aller nulle part parce que partout il y a des gens qui triment dur (même en France !) . Bisous Eva et bon vote
La chaleur c’est bien mais quand on ne bouge pas. Je me demande comment font ces femmes arabes dans notre pays quand il fait si chaud et qu’elles sont couvertes de la tête au pied…. Et là tu nous parles de travaux dans les rizières, en plein soleil !! Bon week end Danae !
—> Non Elisabeth, ce n’était pas la saison du travail dans les rizières, mais les femmes travaillaient tout de même par exemple à assembler des palmes pour confectionner des toitures, ou bien s’affairaient aux travaux ménagers, chercher de l’eau, laver les enfants ! Bon week end Elisabeth
m^me les enfants participent aux taches quotidiennes
merci pour ce partage
doux weekend
ti bo du vendredi
•-~•*’Ś Ő Ń Ŷ Á’*•~-•
—> Oui les plus jeunes enfants aident, ils trient des fleurs de kapokier, les fillettes portent leurs petits frères sur le dos, les enfants aident à mettre les poissons sur les palettes dans les villages de pêcheurs !
Bises Sonya passe un bon we
c’est émouvant de voir ces enfants et ce village
—> Merci Angevine, je partage ton sentiment.
l’or ce beau métal jaune que les femmes aiment porter et que les hommes aiment entasser cela leur donnent la puissance que sans ils n’auraient pas
bisous
raymonde
—> La fièvre de l’or ! A quoi cela sert, on ne l’emportera pas au paradis ! Bisous Raymonde
Je passe rêver un peu ici chère danaé, j’aime tes photos qui montrent bien la façon de vivre des laotiens, les sourires des enfants font plaisir à voir.
Je t’embrasse et te souhaite une douce soirée, désolée d’être moins présente, des travaux extérieurs et intérieurs m’occupent beaucoup en ce moment.
—> Merci Laudith de ta visite, il n’y a pas qu’internet et les blogs dans la vie, il faut bien un peu profiter du printemps pour faire quelques travaux. Bises chère Laudith
j’adore l’image des fillettes qui vous ont accompagnés !
Bonne journée ma Michèle, je t’embrasse
—> Moi aussi je les adore et je leur trouve bonne mine ! Bisous ma Nelly
Chère Danaé,
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Ici, j’ai beaucoup négligé les blogs et beaucoup m’ont lâché, mais je m’en doutais. C’est ainsi, la vie, les vrais ami(e)s il n’y a peu. Heureusement, il a toi et quelques-uns qui ont su garder un lien malgré mes humeurs de silence, et c’est bien. Dieu leur rendra au centuple.
Là, je reprends le cours de mon blog et j’essaie de lui redonner vie.
Enfin, ici, le voyage continue et je m’aperçois de toute la simplicité qui règne dans ces villages dont tu parles, et l’on sent bien toute la difficulté à gagner sa vie, qu’il faut peiner pour un maigre salaire. Merci à toi de nous le rappeler…
Avec toute ma tendre affection, Jack the poétiste
—> Cher Jack,
Je crois que c’est difficile de maintenir un blog en même temps que des conversations sur FB ! Cela prend du temps et ceux qui t’aiment bien ne peuvent pas trop se disperser partout. Moi même je choisis l’un ou l’autre pour y laisser un petit bonjour une fois par jour. Par contre FB est un bon tremplin pour que les gens viennent sur ton blog. Si en plus de temps à autre tu retournes à ton silence, alors ils sont déconcertés, il ne faut pas leur en vouloir.
Je te souhaite une très bonne jurnée.
Une vie qui ne me fait pas rêver, quelle condition de vie très dure, avec si peu de bons pour tous ces pauvres gens.chercher l’or fera toujours rêver, c’est vrai.
Petit copier/coller,
Sommes à Taliouine, 1160m beaucoup de vent , mais plein soleil
Taliouine capitale du safran au Maroc, j’ai appris à faire la différence du vrai ou faux safran.
Et celui que j’avais acheté à Merzouga était du faux !!! je ferai attention la prochaine fois.
Pas toujours facile de bloguer, car tant à voir.
Prochain article vendredi 4.
Pensons bien à vous tous.
gros bisous à toi.
—> Salut Dgidgi, je t’admire tant de savoir faire du troc, te balader dans de si beaux endroits, manger du bon couscous chez l’habitant, et garder une énergie débordante malgré la chaleur ! Bisous et merci pour tes nouvelles.
et alors personne n’est venu dans ta chambre
dommage je parle pas de petite bêtes mais de beau monsieur
bises
raymonde
—> Dommage, pas de beau monsieur ! Bisous Raymonde, coquine tu veux tout savoir !
Chercheur d’or activeur de rêves l’or a toujours attiré
Pour les enfants ce devait-être la fête de vous voir prendre le bateau comme pour vous de voir les habitants une découverte
Bisous
Mounette
—> Ce qui est bizarre, ce ne sont que des filles qui nous ont accompagnés ! Oui la découverte était dans les deux sens !
Bisous Mounette
Bonjour Danae, les chercheurs d’or, je pense à ceux qui détruisent les forêts équatoriales pour le trouver, le pire, c’est que je ne vois pas cette recherche s’arrêter un jour…
Je comprends que tu aies dû souffrir de la chaleur, pas facile quand on n’est pas habitués et on ne peux qu’admirer ces femmes qui travaillent au soleil toute la journée dans les rizières !
bonne semaine !
—> Oui tu as raison, c’est affreux en amazonie ce qui se passe pour rechercher l’or !
En général je supporte assez bien la chaleur , mais là nous venions de déjeuner et il était deux heures de l’après-midi, de plus le village était sur la hauteur !
Bonne semaine à toi Cocole, bonjour à ton ami Rémi