Les naufragés de l’île Tromelin par Irène Frain
Un minuscule bloc perdu dans l’océan Indien. Cerné par les déferlantes, harcelé par les ouragans. C’est là qu’échouent, en 1761, les rescapés du naufrage de L’Utile, un navire français qui transportait une cargaison clandestine d’esclaves.
Les Blancs de l’équipage et les Noirs de la cale vont devoir cohabiter, trouver de l’eau, de la nourriture, de quoi faire un feu, survivre. Ensemble, ils construisent un bateau pour s’enfuir.
Faute de place, on n’embarque pas les esclaves, mais on jure solennellement de revenir les chercher.
Quinze ans plus tard, on retrouvera huit survivants : sept femmes et un bébé. Que s’est-il passé sur l’île ? À quel point cette histoire a-t-elle ébranlé les consciences ? Ému et révolté par ce drame, Condorcet entreprendra son combat pour l’abolition de l’esclavage.
C’est un récit qui est basé sur des faits réels. L’ïle Tromelin se trouve au large de l’île de France, actuelle île Maurice. Irène Frain y a passé un court séjour pour s’imprégner de l’ambiance qui y règne. Max Guérout y a fait plusieurs missions archéologiques afin de mieux comprendre comment ces esclaves malgaches s’étaient comportés dans l’adversité. Voici ce qu’il en dit :
« Achetés comme une marchandise, réduits en esclavage, arrachés à leur cadre de vie habituel, abandonnés sans remords malgré les promesses qui leur avaient été faites, les voici coupés du monde, dans le dénuement le plus complet, qui s’organisent pour survivre, utilisent les faibles ressources de l’île pour rebâtir une petite société et vivre debout, opposant un vivant démenti à ceux qui leur avaient dénié toute humanité ».
Ce récit historique est bouleversant et sa lecture tient en haleine jusqu’au bout, avec cependant un bémol : l’auteur ne nous parle que des blancs alors qu’on aurait été très intéressé de savoir comment les esclaves abandonnés seuls sur l’île pendant quinze ans ont pu survivre et cela aurait pu être possible de les faire revivre grâce aux recherches de Max Guérout.
On reste un peu sur sa faim en déplorant le désintérêt pour ces pauvres noirs, ne leur donnant pas la parole, c’est comme si on les avait abandonnés une fois de plus.
J’ai cependant été captivée par cette aventure inouïe et méconnnue de l’Histoire de France.
mais non danaé je n’en ai plus qu’un car celui de mongénie je ne fais plus rien dessus, je ne le ferme pas, car je récolte les articles et photos dessus, mais c’est tout
un cela suffit car je suis de plus en plus dehors en ce moment et les vacances arrivent
je t’ai mis dans mes favoris dans over blog comme cela je peux aller sur tous les blogs de mes favoris que j’avais sur mongenie
demain randonnée de 12 km dans la forêt
bisous
—> Je vais changer l’adresse de tes liens.
bisous et bon été, bientôt les vacances pour toi.
Bonjour danae,
Je regarderai à la bibliothèque si je trouve ce livre, par ces chaudes journées c’est tout indiqué.
Si tu passes sur mon blog, tu y verras un lien qui conduit à une superbe vidéo, après le voyage sur Mars, nous pourrions embarquer pour Titan
Je t’embrasse.
—> Je te remercie beaucoup Pseud pour m’avoir signalé cette vidéo. Finalement je la signale aussi sur mon blog et je te cite bien sûr.
Bonne journée et des bisous
Triste et scandaleuse histoire du XVIII ème ! Malheureusement, les laissés-pour-compte sont toujours d’actualité et peuvent donner matière à des sujets littéraires !
—> Au 21ème siècle, on n’a toujours pas fait beaucoup de progrès hélas !
J’apprécie cet auteur dont j’ai lu déjà quelques romans et tu donnes envie de lire celui-ci.
Merci chère Danae pour ce partage.
Je te souhaite une belle nuit.
Bisous.
—> C’est vrai que ce roman basé sur une histoire vraie est passionnant.
Bonjour Edith. Quand repars-tu en grand voyage ??? des bisous
bonjour danaé mevoilà revenue sur la toile car je suis souvent sortie pour faire des visites
merci d’avoir donné mon adresse blog à évelyne je commençais à regardais son blog très divers aussi et très interessant
tu nous prépares quoi comme voyage à moins que tu ne partes en vacances
je prends mes vacances cette année du 18 juille peut être jusqu’a fin aout
donc je serais absente
j’ai commencé un blog sur over blog avec monelle
donc celui ci sera moins achalandé
je vais faire un article pour donner l’adresse
bonne journée bisous
—> Je suis « épatée » que tu aies tant de blogs !!! Tu vis intensément le jour et peut-être aussi la nuit ?!!
Bonne semaine en attendant les vacances et bisous
Irène Frain est un auteur que j’apprécie, je n’ai pas lu ce livre mais je vais le chercher !
Je te transmets un bisou de Mounette et moi aussi – bonne semaine.
—> Tu ne seras pas déçue.
Merci pour les bises que je te retourne avec plaisir.
—> Bonjour, chère Danae,
Je suis tenté par l’idée d’être un naufragé sur l’île du Silence où je pourrais à loisir me balader sans plus voir ni entendre le monde s’agiter autour de moi, un véritable paradis somme toute !
En attendant de faire naufrage, je t’envoie mes plus douces pensées silencieuses…
Je te remercie pour tes dernières visites, de ta fidèle présence…
Bien tendrement, Jack qui te souhaite un bon dimanche ensoleillé… Ici des nuages se dessinent sur la plage de l’azur…
—> Mon pauvre Jack, mais ce n’est pas le silence là-bas ! L’ouragan souffle fort, la mer fait un bruit infernal et les oiseaux piaillent !!!
Peut-être que si tu te nichais en plein coeur d’une forêt, ce serait mieux, mais pas une forêt avec des tigres qui rugissent, des éléphants qui barrissent etc…
En attendant de réaliser ton rêve, je t’embrasse affectueusement.