Poème tibétain « au seuil de la mort » par Shabkar
Kalou Rimpoche
grand Lama tibétain aujourd’hui disparu
» Aurions-nous des provisions
pour cent ou mille ans,
Au seuil de la mort,
nous devrons tout abandonner.
Aurions-nous une garde-robe suffisante
pour nous vêtir cent ou mille ans,
Au seuil de la mort nous serons nus.
Posséderions-nous cent
ou mille pièces d’or ou d’argent,
Au seuil de la mort,
nous aurons les mains vides.
Serions-nous entourés de cent
ou mille parents et amis,
Au seuil de la mort nous serons seuls.
Ainsi en est-il ! »
tres interessant, merci
—> Merci aussi, je n’ai pas de crédits à faire racheter !
ce poème reflête toute la sagesse thibétaine
se sont des hommes sages et profonds dans leur façon de vivre et de penser
bonne journée
bisous
—> Toute la sagesse est là … mais pour ce voyage là on n’est jamais trop pressé !
bisous et belle journée
Quelle sagesse !
Merci de nous rappeler cette évidence que nous oublions si facilement.
Marie-Aline
—> J’apprécie votre visite ainsi que vos mots sur l’espace de notre ami Jack, et je vous en remercie. C’est en effet une poésie à méditer.
Je ne sais s’il existe une célébration officielle pour l’anniversaire de son départ vers « l’ailleurs », je voulais parler de la célébration qui se fera, en silence et en méditation, au centre de mon coeur…
Bises.
—> J’y penserai aussi. Merci Mutti. Kalou Rimpoche était un saint homme empli de compassion.
Bonne soirée à toi
« Fidèle, fidèle, je suis resté fidèle
A des choses sans importance pour vous
Un soir d’été, le vol d’une hirondelle
Un sourire d’enfant, un rendez-vous
Fidèle, fidèle, je suis resté fidèle
A des riens qui pour moi font un tout
Fidèle, fidèle, je suis resté fidèle
A des lieux et des amis très doux … »
Bon dimanche,
bizous ensoleillés,
Lily(*-*)
—> Chère Lily, je ne sais où tu as trouvé des bizous ensoleillés, mais ce n’est pas chez moi en tous cas.
Par contre ton joli poème, c’est lui qui apporte le soleil dans nos coeurs, douce amie, merci. danae
Bonjour Danae,
J’aime bien ce proverbe tibétain…si vrai.
On vient au monde nu et c’est nu que l’on quitte ce monde.
Merci pour ce sage rappel.
bises
~Bonsai~ qui passait te rendre une petite visite amicale
—> Ce poème tibétain est tellement vrai, merci de nous le rappeler.
L’amitié, ça réchauffe le coeur.
danae
c’est très vrai, j’ai constaté que maman qui avait l’habitude de conserver « au cas où », sur la fin s’est détachée de tout, c’en était poignant. C’est ainsi que j’ai su qu’elle était sur le Chemin.
bises
—> Excuse moi de te rappeler de douloureux souvenirs. Ce poème fait réfléchir, il est tellement vrai !
bises à toi
Merci, Danae, merci pour ce magnifique poème et pour la mémoire de Kalou Rinpotché… pour qui tu as encadrée l’une de ses photos… Oui, il est parti, vingt ans déjà… mais il est si présent que la célébration de son départ, le 10 mai prochain procurera au monde un bel instant de paix…
Douce soirée.
—>Oui Mutti, ce poème est très vrai. J’ai bien connu Kalou Rimpoche et j’ai même vu son ermitage à Darjeeling, j’ai aussi reçu une initiation de sa part. J’aurais aimé que tu m’expliques cette célébration de son départ car je ne sais rien à ce sujet. Je t’en remercie. Je vais regarder sur internet.
Belle soirée
Très beau poème empreint d’une grande sagesse.
Apprenons le lâcher-prise.
Sachons ne garder que l’essentiel
Restons à l’écoute de notre moi profond
Ayons de la compassion pour les êtres qui nous entourent
Il pleut sans discontinuer
Les nappes phréatiques se remplissent !!!
Amitiés
—> Il est si vrai ce poème !
Ici il a plu aussi toute la journée !
bises